2011
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/8290
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https://doi.org/10.4000/books.pur
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Marianne Massin, « Un fantastique propre à l’opéra : l’inquiétante étrangeté des changements », Presses universitaires de Rennes
Traçant les « Grandes lignes d’une préface » pour Operratiques, Michel Leiris opposait à « [l’]outrecuidance – ou [la] naïveté – qu’il y a pour un simple amateur (ni musicien ni homme de théâtre) d’émettre des vues sur l’opéra », « [l’]utilité que peuvent avoir pour les spécialistes, des réflexions émanant de celui qui justement n’est pas des leurs mais fait partie du “bon public” ». Ainsi se justifiait l’entreprise de cet ouvrage qu’il laissa, comme on le sait, inachevé.M’autorisant de cette préface...