2015
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/82bc
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https://doi.org/10.4000/books.pur
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Daniel Saulnier, « La forme propre des graphies neumatiques, indice pour leur interprétation ? », Presses universitaires de Rennes
Pendant des décennies, la théorie rythmique du plain-chant s’était trouvée réduite à une abstraction arithmétique simpliste pratiquement extrinsèque au signe neumatique. Comble d’indigence que nous avons peine à concevoir aujourd’hui. Imaginez qu’il suffisait d’ajouter une note au début d’un mélisme ou d’une antienne syllabique pour en bouleverser l’interprétation, les appuis rythmiques se trouvant par là-même tous décalés d’un rang !Dans les années soixante, la Sémiologie grégorienne se révéla...