2013
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/82jl
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.pur
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7535-6927-0
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7535-2230-5
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Boris Noguès, « Perdre ou gagner une université. Les enjeux locaux de la géographie universitaire française », Presses universitaires de Rennes
La géographie universitaire française de l’époque moderne paraît remarquablement stable. Passé la grande période de fondations de la fin du Moyen Âge, qui porte le nombre d’universités à dix-sept vers 1500, on ne compte en effet jusqu’à la fin de l’Ancien Régime que quatre créations effectives dans les frontières du royaume, et cinq disparitions ou transferts dans une autre ville (voir le tableau donné en annexe). Cette apparente stabilité est évidemment trompeuse, car il ne suffit pas de comparer...