2018
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/82pp
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https://doi.org/10.4000/books.pur
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Franck Mercier et al., « Conclusion. Vers une marginalisation de l’hérésie ? », Presses universitaires de Rennes
À lire ou parcourir les sources du Moyen Âge européen (ve-xve siècle), l’impression domine que les hérétiques sont partout, y compris et peut-être surtout aux marges des royaumes, des cités et bientôt de la Chrétienté. Répertoriés comme tels depuis le ive siècle, les Bonosiens et autres Photiniens seraient ainsi toujours implantés, aux lisières du royaume franc, dans l’espace jurassien au viie siècle ; d’autres hérétiques d’origine africaine et d’affiliation « manichéenne » perdureraient en Italie...