2021
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/82qi
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https://doi.org/10.4000/books.pur
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Judith Langendorff, « Introduction », Presses universitaires de Rennes
« Il y a chez Novalis, Schelling, Schumann tout un pathos de l’ombre qui exprime la nostalgie romantique de la confusion et où l’on peut distinguer deux “thèmes nocturnes” étroitement apparentés. Le premier de ces thèmes pourrait s’appeler l’être du non-être ou le positif du négatif. Le noir inqualifiable enveloppe dans son manteau de ténèbres les qualités multicolores et la bigarrure polychrome… […] Quant au second thème, il consiste dans l’intuition d’un certain ordre vital selon lequel l’informe...