2009
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Vicente Sánchez-Biosca, « ¡Arrodíllate, por favor! », L’Âge d’or
La religion, on le sait, a été un des thèmes récurrents dans l’œuvre de Buñuel dès L’Âge d’or. Plutôt qu’un sujet, elle configure des scènes fortement ritualisées, où la liturgie chrétienne se manifeste de manière très subtile car elle tisse son sens avec celui de l’érotisme et de la perversion. C’est ainsi que peuvent être analysées maintes séquences de la production mexicaine de Buñuel : en tant que scènes dans un triple sens de scènes cinématographiques, scènes fantasmatiques et scènes liturgiques. Il s’agira ici d’étudier les occurrences de ces perversions dans trois films : Ensayo de un crimen, Él et Viridiana.