2020
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Javier Jurado, « Corporatisme et anticommunisme dans les médias franquistes », L’Âge d’or
Héritière de l’idéologie fasciste sur laquelle se fondait la propagande de guerre pendant les années du conflit, la dictature considérait le communisme comme son ennemi le plus dangereux et elle a fait des ouvriers – plus ou moins politisés – des éléments suspects de la société. Analyser le cinéma promu par ce régime nous permettra d’identifier le message politique dont la propagande et les médias franquistes se font le relai, et de comprendre comment il a été utilisé pour neutraliser ces périls supposés. Cela nous permettra, en outre, d’expliquer les origines de l’aversion anticommuniste au sein d’une frange de la hiérarchie militaire dès 1917, ainsi que la prévisible militarisation de la société brandie comme solution face à cette prétendue menace.