2013
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Frédérique Villemur, « Soapéra de Mathilde Monnier et Dominique Figarella », Agôn
Au commencement, il y aurait un fluide universel, non un déluge, mais cette mousse aérienne, envahissante, par où prendre corps et forme. Au début, il y aurait donc une scène déjà occupée – mais sans danseurs. Et nous spectateurs, en train d’avancer, nous verrions se déverser cette grande coulée blanche d’en-haut qui nappe la scène jusqu’à son bord pour s’arrêter presque à nos pieds. Seule la mousse, compacte et vibratile, emplirait l’obscurité de la scène.À partir de cette blancheur inconditionnelle,...