2012
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Malcolm Crook, « Valérie Capdeville, L’Âge d’or des clubs londoniens (1730‑1784) », Annales historiques de la Révolution française
Cette étude méticuleuse, de la main d’une angliciste, trouve son origine dans sa thèse sur « une forme de sociabilité “véritablement à l’anglaise” », selon ses propres mots. Peter Clark, historien britannique des espaces urbains, a esquissé le terrain plus large, et de plus longue durée, dans un livre intitulé British Clubs and Societies, 1500‑1800 : the Origins of an Associational World, Oxford, Oxford University Press, 2000. Valérie Capdeville, par contre, se focalise...