Espaces vides et espaces bâtis dans la ville antique de Cahors-Divona

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2017

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  • 20.500.13089/a13t
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Résumé Fr En Es

Implantée dans un méandre du Lot de 210 ha, Cahors-Divona en occupe la partie centrale à l’abri des inondations de la rivière. D’autres espaces sont délaissés par l’urbanisation, soit en raison de ruptures de pentes rendant malaisé un aménagement, soit par choix semble-t-il prémédité dans un but de réserve foncière, comme nous le verrons avec le temple attribué à la divinité tutélaire. À la fin de l’Antiquité, la totalité des monuments publics sont abandonnés et la cité réduit son emprise à 29 ha délimités par ses fortifications. À l’extérieur, les grands édifices sont démantelés tandis que se multiplient des installations précaires et opportunistes. On suppose que les abords de la cité ont été mis à profit pour la mise en place de cultures vivrières, mais aucun indice archéologique de cette activité n’a encore été décelé.

Located in a meander of the Lot of 210 ha, Cahors-Divona occupies the central part sheltered from the floods of the river. Other spaces are neglected by urbanization, either because of slope breaks making it difficult to plan, or by seemingly premeditated choices for the purpose of land reserve, as we shall see with the temple attributed to the tutelary deity. With the retraction of late antiquity, which will see the fallowing of all public monuments, the city reduced its hold to 29 ha, sheltering itself with fortifications. The liberated space sees precarious and opportunistic installations, and we witness the dismantling of large buildings that have lost all purpose. The archaeological traces are currently silent on this subject, but it is assumed that this space bordering the city did not fail to be exploited for the establishment of food crops.

Implantada en un meandro del río Lot de 210 hectáreas, Cahors-Divona ocupaba su parte central, a resguardo de las inundaciones. Otros espacios fueron dejados de lado por la urbanización, ya sea debido a rupturas de pendientes (que dificultaban los acondicionamientos), o por decisiones premeditadas con el objeto de mantenerlos como reservas territoriales, tal y como puede apreciarse con el templo atribuido a la divinidad tutelar. Con la retracción de la Antigüedad tardía, cuando los monumentos públicos fueron abandonados, la ciudad redujo su perímetro a 29 hectáreas, poniéndose a resguardo de fortificaciones. En el espacio liberado se construyeron instalaciones precarias y oportunistas, y los grandes edificios, que habían perdido su razón de ser, fueron desmantelados. Las huellas arqueológicas no han revelado nada hasta el momento, pero es de suponer que el espacio que bordeaba la ciudad fue aprovechado para el cultivo de alimentos.

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