2017
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Didier Rigal, « Espaces vides et espaces bâtis dans la ville antique de Cahors-Divona », Archéopages
Implantée dans un méandre du Lot de 210 ha, Cahors-Divona en occupe la partie centrale à l’abri des inondations de la rivière. D’autres espaces sont délaissés par l’urbanisation, soit en raison de ruptures de pentes rendant malaisé un aménagement, soit par choix semble-t-il prémédité dans un but de réserve foncière, comme nous le verrons avec le temple attribué à la divinité tutélaire. À la fin de l’Antiquité, la totalité des monuments publics sont abandonnés et la cité réduit son emprise à 29 ha délimités par ses fortifications. À l’extérieur, les grands édifices sont démantelés tandis que se multiplient des installations précaires et opportunistes. On suppose que les abords de la cité ont été mis à profit pour la mise en place de cultures vivrières, mais aucun indice archéologique de cette activité n’a encore été décelé.