2023
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2269-9872
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1622-8545
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/a1at
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/archeopages.11073
info:eu-repo/semantics/openAccess , All rights reserved
Éric Blanchegorge, « Renouvellement des salles d’archéologie auboise du musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Troyes », Archéopages
Créé en 1830, le musée des Beaux-arts et d’Archéologie de Troyes accueille les découvertes archéologiques locales, puis le mobilier issu des premières fouilles entreprises dans l’Aube. Il s’efforce depuis de présenter le résultat des opérations récentes, telles les plus belles découvertes issues des fouilles réalisées dans les années 1980 et 1990 (autoroute A5, transformations de l’urbanisme troyen, domus dite de Chaillouet) notamment par l’Association pour les fouilles archéologiques nationales (Afan). Ce sera toujours le cas dans le nouveau parcours lié à la réfection du musée. Ainsi, la tombe princière de Lavau, étudiée par l’Inrap, sera l’un des points d’orgue de ces salles archéologiques rénovées. Les salles archéologiques des musées se doivent de synthétiser les savoirs autour des ensembles mobiliers jugés représentatifs d’un moment de l’histoire proche ou lointaine dont nous sommes héritiers. Et cela ne peut se faire sans l’expertise évidente des chercheurs de la communauté archéologique.