2018
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Michaël Landolt, « L’archéologie de la Grande Guerre : une nécessaire interdisciplinarité », Artefact
Les vestiges de la Grande Guerre sont désormais pris en considération par les archéologues. Bien qu’opportuniste à ses débuts, à la fin des années 1980, l’archéologie du premier conflit mondial a su développer des problématiques scientifiques à travers différentes approches. Au moment où s’éteignait le dernier vétéran du conflit, en 2011, la découverte du « Pompéi de la Grande Guerre » à Carspach (Haut-Rhin) a permis de mettre au jour un vaste abri souterrain où vingt et un soldats allemands avaient été ensevelis en mars 1918. Cette fouille a déclenché de nombreuses réflexions méthodologiques pluridisciplinaires autour de la discipline archéologique.