2018
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Daniel Vidal, « Aviad Kleinberg, Le Dieu sensible », Archives de sciences sociales des religions
Parce qu’ils sont, selon Aviad Kleinberg, « immergés dans le sublime », les textes religieux, à les entendre dans leur plus forte densité et profondeur, pourraient accueillir sans réserve la définition que propose Blandine Saint Girons dès l’entrée de son ouvrage Fiat Lux. Une philosophie du sublime (1993). Le sublime « gît dans un verbe si plein de lui-même que l’univers y apparaît in statu nascendi, et que le signifiant produit immédiatement son signifié ». Si je souligne ce verbe, c’est pour...