Portes, seuils et portails dans El burlador de Sevilla de Tirso de Molina

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  • 20.500.13089/ddky
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Isabelle Bouchiba-Fochesato, « Portes, seuils et portails dans El burlador de Sevilla de Tirso de Molina », Bulletin Hispanique


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Résumé Fr Es En

Sans renier la lecture théologique de la pièce, nous proposons d’y voir également un précurseur de l’écriture fantastique espagnole. Ainsi, la chapelle où se dénoue le drame apparaît non seulement comme seuil ultime dans la vie de l’abuseur mais également comme portail de pierre et de feu menant vers un autre monde et dont le gardien n’est autre que l’étrange et inquiétante statue du Commandeur.

Sin negar la lectura teológica de la obra, proponemos ver en ella un precursor de la escritura fantástica española. Así, la capilla donde acaba el drama aparece no solo como el último umbral en la vida del Burlador, sino también como un portal de piedra y fuego que conduce a otro mundo, cuyo guardián no es otro que la extraña e inquietante estatua del Comendador.

Without denying the theological reading of the play, we propose to see in it also a precursor of Spanish fantasy writing. Thus, the chapel where the drama unfolds appears, not only as the ultimate threshold in the life of the abuser, but also as a portal of stone and fire leading to another world, whose guardian is none other than the strange and disturbing statue of the Commander.

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