Les vies successives du cercle méridien portatif de Rigaud n° 2

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2023

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  • 20.500.13089/df2p
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Résumé Fr En

Au milieu du xixe siècle, la lunette méridienne portative émerge pour mesurer la position sur terre ou déterminer l’heure. Le caractère de mobilité de l’instrument ne remet-il pas en cause en permanence l’état de stabilité de fonctionnement lentement obtenu pour la précision de la mesure ? Nous examinons cette question à travers le parcours du cercle méridien n° 2 de Rigaud. Utilisé au service de la révision des longitudes de la Carte de France par l’astronome Antoine Yvon Villarceau (1813-1883), il est détruit lors des évènements de la Commune. Restauré car nimbé d’une aura de précision, il sert dès lors dans plusieurs expéditions astronomiques de la fin du xixe siècle, dont certaines à vocation impériale. Prêté à l’observatoire jésuite de Madagascar, il en devient l’instrument méridien fixe dans le premier quart du xxe siècle.

In the middle of the 19th century, the portable meridian telescope emerges to measure the position on earth or to determine the time. Doesn’t the mobility of the instrument permanently challenge the state of operational stability slowly obtained for the accuracy of the measurement? We examine this question through the course of the meridian circle n° 2 of Rigaud. Used in the service of the revision of the longitudes of the Carte de France by the astronomer Antoine Yvon Villarceau (1813-1883), it is destroyed during the events of the Commune. Restored because of its aura of precision, it was used in several astronomical expeditions at the end of the 19th century, some of which had an imperial vocation. Loaned to the Jesuit observatory of Madagascar, it became the fixed meridian instrument in the first quarter of the 20th century.

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