Nature’s Social Union: Re-Reading Anthropomorphism in Poetry About Animals

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2020

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  • 20.500.13089/dglo
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Thomas Pughe, « Nature’s Social Union: Re-Reading Anthropomorphism in Poetry About Animals », Caliban


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Résumé Fr En

Les expressions anthropomorphiques dans certains poèmes peuvent-elles représenter l’être-animal au-delà de la simple exploitation symbolique ? Cette question sera au cœur de l’analyse de trois poèmes canoniques sur les relations entre les animaux et les humains, à savoir « To a Mouse » de Robert Burns, « Black Cat » (« Schwarze Katze ») de Rainer Maria Rilke et « Little Whale Song » de Ted Hughes. Le choix de ce petit corpus correspond historiquement à l’évolution des sciences naturelles modernes de la fin du dix-huitième siècle jusqu’à nos jours. Si le rejet de l’anthropomorphisme est devenu au cours de cette évolution la norme dans les discours scientifiques, l’éthologie contemporaine est cependant revenue à une position plus nuancée. Celle-ci nous sert de cadre théorique pour l’interprétation des poèmes du corpus, interprétation qui permet la conclusion que dans certains cas, poésie et sciences (notamment l’éthologie) s’avèrent être complémentaires.

The aim of this article is to investigate if poetic anthropomorphism is a valid way of describing animality, i.e. a way of describing the qualities shared by human and non-human animals that other forms of discourse—e.g. scientific or political discourses—do not as fully possess. Three canonical poems exploring the relations between humans and animals have been chosen for closer analysis: Robert Burns’s “To a Mouse”, Rainer Maria Rilke’s “Black Cat” (“Schwarze Katze”) and Ted Hughes’s “Little Whale Song.” This corpus roughly corresponds to the rise of modern science, through the 19th and 20th centuries. The rejection of anthropomorphic discourse in the course of this rise and its re-evalution in contemporary ethology form the conceptual background of the poetry interpretations. The latter lead to the conclusion that poetry may have more in common with science (i.e. with ethology) than first meets the eye.

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