2020
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/dp08
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https://doi.org/10.4000/ceg.9341
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Le corps déficient avec ses masques expressifs intervient dans les processus de transmission entre cultures différentes. Cela apparaît au grand jour dans l’accent qui dérange, sépare, marque l’étranger, et en même temps transporte, c’est-à-dire relie deux langues. L’article développe une petite théorie de l’accent, retrace son rôle dans les textes littéraires et explore ensuite les équivalents iconographiques. La transmission du style néo-classique par Schick ainsi que la série transfrontalière de poses de Max Ernst sont la démonstration d’actes iconographiques transculturels. Dans l’intercession de Brassens pour les amoureuses tondues et les films bilangues (Frantz, Transit), l’accent acquiert une force explosive particulière.