De « l’ombre légère » à la « machine à écrire familiale »

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2012

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  • 20.500.13089/e1jv
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Les écritures du quotidien sont aujourd’hui bien souvent affaire de femmes ; celles-ci recueillent, sauvent et agencent l’éphémère patrimoine mémoriel qui, sans le secours de quelque sœur, tante ou vieille cousine, serait voué à l’oubli. Véritables « machines à écrire familiales », selon la formule chère à Bernard Lahire, les femmes notent, archivent et mettent en forme les traces d’un passé ordinaire qui prend tout son sens à la faveur de leurs commentaires et gardent la famille en vie. Avant...

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