L’aphoriste dans le roman, une figure d’autorité ?

Stéphanie Bertrand

L’aphoriste dans le roman, une figure d’autorité ?

Fiche du document

Auteur

Stéphanie Bertrand

Date

2016

Discipline

Littératures

Type de document

Articles

Périmètre

Publications

Identifiant

20.500.13089/eefr

Source

COnTEXTES

Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1783-094X

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2033-5709

Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/eeqp

Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/contextes.6223

Collection

OpenEdition Journals

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/openAccess , https://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/4.0/

Mots-clés Fr

Posture Gide (André) Ethos Auctorialité Style Aphorisme Autorité Roman à thèse Roman d’idées xxe siècle

Sujets proches En Fr

Roman Genre romanesque Fiction (littérature) Littérature romanesque Récits Romans

Citer ce document

Stéphanie Bertrand, « L’aphoriste dans le roman, une figure d’autorité ? », COnTEXTES

Partage / Export

Résumé 0

L’aphorisme est un genre qui peut se rencontrer de manière autonome, en recueil, ou dans la dépendance d’un autre : théâtre, poésie, roman. Dans ce deuxième cas, on peut l’envisager comme un genre intercalaire, en particulier dans le roman, où l’hétérogénéité discursive ainsi créée constitue l’un des aspects de la polyphonie, dont Bakhtine a précisément montré qu’elle était une caractéristique fondamentale du genre ; mais il peut aussi être intéressant de considérer l’aphorisme comme une donnée...