2010
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https://doi.org/10.4000/coulisses.318
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David Ball, « Bertold Brecht, La Bonne âme de Setchouan », Coulisses
Avec ses collaboratrices, Brecht consacra de longues années d’exil à l’élaboration de cette parabole pour le théâtre. Pourrait-on aller jusqu’à dire que sa vraie bonne âme est Margarethe Steffin, la collaboratrice avec qui il travailla chaque réplique, mot par mot ? Ou peut-être, avant elle, Elisabeth Hauptmann ? Ce fut grâce à elle qu’il prit connaissance du théâtre oriental, en lisant ses traductions des pièces nô japonaises à partir de l’anglais d’Arthur Waley. Le souci principal de Brecht...