2019
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Mildred Galland-Szymkowiak, « Gestimmter Raum », Les Cahiers philosophiques de Strasbourg
On fait ici l’hypothèse que les atmosphères nous enjoignent de penser l’unité originaire, c’est-à-dire non synthétique, d’une spatialité et d’une tonalité affective. Ce problème est philosophiquement ouvert dans Être et temps par la détermination heideggerienne de la spatialité et de la Befindlichkeit, ce qui ne débouche toutefois pas sur une étude des atmosphères. L’article présente ensuite deux voies pour penser la coappartenance de l’espace et de l’intonation, c’est-à-dire pour penser l’espace intoné (gestimmter Raum) : celle qui part de la vie charnelle (Hermann Schmitz) et celle qui part de l’expressivité (Elisabeth Ströker).