Aproximaciones periféricas a las Comunidades de Castilla (siglos xvi a xix)

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2018

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  • 20.500.13089/ekxx
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Jean Canavaggio, « Aproximaciones periféricas a las Comunidades de Castilla (siglos xvi a xix) », Criticón


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Ces trois approches peuvent être qualifiées de périphériques à des titres divers au sein de l’historiographie du mouvement comunero. La première rassemble les variations burlesques inspirées par le soulèvement des cités castillanes à trois contemporains de Charles Quint, Villalobos, Guevara et Francesillo de Zúñiga. La deuxième est celle de William Roberston, historien écossais du xviiie siècle, qui examine le mouvement à la lumière de l’expérience du parlementarisme britannique et dont les conclusions marqueront de leur empreinte l’interprétation libérale que défendra par la suite Martínez de la Rosa. La troisième et dernière, celle de Karl Marx, le replace dans le cadre d’une réflexion plus large qui porte sur un contexte dont il fut le témoin, celui des vicissitudes politiques de l’Espagne du xixe siècle.

These three approaches may be qualified as peripheral ones in the historiography of the Comunero movement. The first one collects the burlesque variations that inspired Carlos V and his contemporaries (Villalobos, Guevara and Francesillo de Zúñiga); it is the riot of some castillan cities. The second one is William’s Roberston’s, a scottish historian researcher from the xviii century that observes the movement through the light of his own experience of britannic parliamentarianism, and whose conclusions will be very important for the liberal interpretation defended later by Martínez de la Rosa. The third and last one, Karl Marx’s, replaces him in a larger space of reflexion on a topic that he can bear witness to: xix century Spain’s politic troubles.

Estas tres aproximaciones pueden calificarse como periféricas por distintos conceptos dentro de la historiografía del movimiento comunero. La primera sintetiza las variaciones bufonescas inspiradas por el alzamiento de las ciudades castellanas a tres contemporáneos de Carlos Quinto, Villalobos, Guevara y Francesillo de Zúñiga. La segunda es la de William Robertson, historiador escocés del siglo xviii, que examina el movimiento desde la perspectiva del parlamentarismo británico, y cuyas conclusiones dejarán significativa huella en la interpretación liberal promovida luego por Martínez de la Rosa. La tercera y última, la de Karl Marx, lo contempla en el marco de una reflexión más amplia, centrada en un contexto del que fue testigo, el de las peripecias políticas de la España del siglo xix.

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