Triunfos del suceso: Cultura festiva en las postrimerías del Siglo de Oro

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2018

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  • 20.500.13089/fcju
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e-Spania

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José Jaime García Bernal, « Triunfos del suceso: Cultura festiva en las postrimerías del Siglo de Oro », e-Spania


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Résumé Es Fr

En las manifestaciones festivas del reinado de Carlos II las tradiciones ceremoniales de la dinastía de los Austrias se imbrican estrechamente con el imaginario del fasto religioso. Los sucesos político-dinásticos son interpretados en clave providencialista y, a la inversa, la inauguración de templos o los traslados de imágenes devotas pasan a formar parte de la agenda ceremonial de la monarquía. El capital simbólico y visual acumulado en los siglos XVI y XVII desemboca en una cultura festiva compartida que se extiende por todo el tejido social y decanta discursos con planteamientos ideológicos originales que superan el canon de las relaciones de fiestas precedentes. Paralelamente asistimos a una renovación de los lenguajes de la celebración que borra las fronteras entre las fiestas reales y los triunfos sagrados. La aparición de nuevos protagonistas y mecenas diversifica asimismo la oferta lúdica, recreando la fiesta de corte a pequeña escala.

Sous le règne de Charles II, les célébrations festives et les traditions cérémonielles de la dynastie des Habsbourg se sont entrelacées étroitement à l’imaginaire du faste religieux. Les succès politico-dynastiques sont ainsi interprétés à l’aune du providentialisme ; en revanche, l’inauguration des temples ou le transfert d’images de dévotion viennent occuper l’agenda cérémoniel de la monarchie. La charge symbolique et visuelle cumulée au cours des XVIe et XVIIe siècles donne lieu à une culture festive partagée par tous, qui infuse dans le corps social et engendre des discours dont les énoncés idéologiques originels transcendent le canon des antérieurs récits de fêtes. En parallèle, les langages de la célébration se renouvellent, estompant les frontières entre fêtes royales et triomphes sacrés. Pareillement, avec l’irruption de nouveaux acteurs et mécènes, l’offre ludique se diversifie, recréant, à moindre échelle, la fête de cour.

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