2014
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/fh7y
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https://doi.org/10.4000/echogeo.13696
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Installé dans la douleur en mai 2011, le nouveau pouvoir ivoirien est parvenu à tenir le calendrier électoral de la mandature 2010-2015. Après les législatives de décembre 2011, les élections locales (municipales et régionales) ont eu lieu dans le calme en avril 2013. Mais le processus démocratique a conservé les mêmes faiblesses : découpage modifié, liste électorale incomplète, commission électorale indépendante non renouvelée. En outre, le FPI (parti de l’ancien chef de l’État) a de nouveau boycotté les consultations, et de nombreuses dissidences ont brouillé les scores des deux autres grands partis (RDR et PDCI), donnant aux « indépendants » un poids électoral difficile à déchiffrer. Heureusement, les enjeux étaient minimes car la décentralisation est encore très largement virtuelle.