Deleuze lit Dickens

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2010

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  • 20.500.13089/fvwp
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Jean-Jacques Lecercle, « Deleuze lit Dickens », Etudes de stylistique anglaise


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On partira de la lecture par Deleuze, dans son dernier article, « L’immanence : une vie… », d’une page de Our Mutual Friend, de Dickens. On se demandera en quoi cette lecture philosophique fait plus qu’illustrer les concepts du système, et en quoi elle peut intéresser la stylistique. On comparera la lecture de Deleuze avec une autre lecture du roman, le compte rendu qu’en donna Henry James. On en tirera des conséquences sur ce que peut être la « lecture forte » d’un texte littéraire par un philosophe.

The essay is a commentary of the close reading that Deleuze, in his last published essay, « Immanence : a life… », practices on a passage from Our Mutual Friend. To what extent does this reading go beyond the mere illustration of philosophical concepts and concerns the practice of stylistics? Deleuze’s reading is compared with another reading of Dickens’s novel, the review written by Henry James. The essay concludes by proposing a number of theses on the “strong reading” of a literary text by a philosopher.

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