2012
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Hervé Fischer, « La poste libertaire », Nouvelles de l'estampe
Au début des années 1970, à Paris, je commençais à diffuser par la poste mes premiers tracts-manifestes de l’hygiène de l’art et de l’art sociologique, tagués de tampons d’artistes bleus, rouges ou noirs, aux formules synthétiques (ill. 1) ou j’envoyais des chèques tamponnés « campagne prophylactique ».Et j’ai commencé à recevoir aussi dans ma boîte à lettres des petits envois d’objets de la vie quotidienne : cheveux, ticket d’autobus, paquet de cigarettes vide, bout de papier journal, étiquette...