L’obsession du réalisme. Sur trois expériences primitives de photographie (1837-1851)

Fiche du document

Auteur
Date

2019

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
  • 20.500.13089/gcjc
Source

Focales

Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2556-5125

Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/gcn4

Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/focales.551

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/openAccess , https://creativecommons.org/licenses/by-nc/4.0/


Résumé Fr En

Pour le critique de cinéma André Bazin, la photographie pourrait se définir par sa capacité de combler « notre appétit d’illusion par une reproduction mécanique dont l’homme est exclu ». Une formule dont cet article se propose de revisiter la portée, en partant de recherches sur trois « primitifs de la photographie » : le premier portrait réalisé sur une plaque au sel d’argent par Louis Jacques Mandé Daguerre en 1837 ; une série de daguerréotypes sur des barricades de juin 1848 (Charles-François Thibault) ; enfin un calotype de 1855, « Porte Cochère », de Louis Marie Bosredon, sur carton et papier salé.

For André Bazin, photography could be defined by its capacity to fill “our appetite for illusion by a mechanical reproduction of which the man is excluded”. A formula that this article proposes to revisit the scope starting from research on three “primitives of photography”: the first portrait realized on a silver salt plate by Louis Jacques Mandé Daguerre in 1837, a series of daguerreotypes on barricades of June 1848 (Charles-François Thibault), finally a calotype of 1855, “Porte Cochère”, of Louis Marie Bosredon, on cardboard and salted paper.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets