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2020
- 20.500.13089/gp15
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https://doi.org/10.4000/histoirepolitique.575
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Mots-clés
contrôle ouvrier autogestion années 1950-1970 démocratie directe workers’ control 1950s-1970s self-management direct democracySujets proches
Consultative management Workers' participation in management Workers' control Worker codetermination Participative management Employee participation in management Industrial democracy Employee involvement in management Self-management by employees Worker participation in management Autogestion (Employee self-management) Codetermination, Worker Participatory management Employees' representation in management Workers' self-management Worker self-management Labor participation in management Economic democracy Expressive behavior Direct legislation Clubs French Republic Administración--Participación de los trabajadores Cogestión Democracia industrial Empresas--Administración--Participación de los trabajadores Empresas--Beneficios--Participación de los trabajadores Empresas--Participación de los trabajadores Gestión participativa Participación de los trabajadores en la gestión Participación en la empresa Personal--Participación en la gestión Vie associative Organisations Sociétés (associations) Amicales Initiative populaire Veto populaire Initiative législative populaire Démocratie semi-directe Initiative législative citoyenne Référendum d'initiative populaire Souveraineté populaire Autogestion dans l'entreprise Gestion ouvrière Gestion directe République française Royaume de France Royaume de France (987-1791)Citer ce document
Hélène Hatzfeld, « Le « contrôle ouvrier » : diffusion et disparition d’un imaginaire », Histoire Politique
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Résumé
Le « contrôle ouvrier » a mobilisé des syndicats, des associations et des intellectuels en France, en Grande-Bretagne, en Belgique et en Italie, de la fin des années 1950 au milieu des années 1970. Pouvant faire référence à la fois aux conseils ouvriers et à la démocratie industrielle, il a été une expression de mutations sociétales et de nouvelles exigences politiques. Ravivé par les grèves et les luttes sociales des années 1968, il a suscité un imaginaire politique de démocratie directe avant d’être relayé par l’autogestion ou de disparaître.
