Grégory Chatonsky : l’art d’une archéofiction sans histoire ?

Fiche du document

Date

2018

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
  • 20.500.13089/gue4
Source

Hybrid

Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2276-3538

Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/gudo

Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/hybrid.283

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/openAccess , https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/




Citer ce document

Arnaud Regnauld, « Grégory Chatonsky : l’art d’une archéofiction sans histoire ? », Hybrid


Partage / Export

Résumé 0

Dans le sillage des expérimentations postmodernistes, Grégory Chatonsky remet en question le point de vue et la narrativité, avec pour horizon l’élaboration d’une fiction sans narration, c’est-à-dire dépourvue de diégèse, mais également sans instance narrative, car anonyme, machinique et collective : « Tout se passe comme si une fiction, ici une machine, rêvait nos vies, utilisait la matière même de nos existences dans son sommeil », déclare l’artiste dans un texte-manifeste. Dans quelle mesure la discrétisation et le montage semi-aléatoire des flux captés sur la Toile qu’ils soient visuels, textuels, ou sonores, contribuent-ils à l’émergence d’un nouvel imaginaire de la fiction qui chercherait à se soustraire au principe de causalité et, de fait, à la logique du récit ?

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines