Mathilde Arrivé, Le primitivisme mélancolique d’Edward S. Curtis

Fiche du document

Date

2019

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
  • 20.500.13089/h4k3
Source

Interfaces

Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2647-6754

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1164-6225

Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/h4l7

Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/interfaces.657

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/openAccess , https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/



Citer ce document

Didier Aubert, « Mathilde Arrivé, Le primitivisme mélancolique d’Edward S. Curtis », Interfaces


Partage / Export

Résumé 0

C’est une lettre du photographe Edward S. Curtis au naturaliste et anthropologue George Bird Grinnell qui résume le mieux, sans doute, l’ampleur de la tâche à laquelle s’attelle Mathilde Arrivé dans cet ouvrage. Alors qu’il débute à peine un travail de trois décennies qui donnera forme aux vingt volumes rassemblés sous le titre The North American Indian (TNAI), Curtis reconnaît qu’il s’agit d’un « rêve si grand » qu’il est à peine capable d’en imaginer les contours (« It’s such a big dream, I can’t...

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines