2016
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https://doi.org/10.4000/lbl.415
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María Fátima Rodriguez, « Bibliothèques captives. Politiques du livre dans les langues de l’État espagnol », La Bretagne Linguistique
L’intrication du fait « culturel », des positions idéologiques, spirituelles ou politiques des individus et des collectifs au sein d’une communauté légalement reconnue comme telle peut susciter des réactions de défense ou de contre-défense allant jusqu’à provoquer, dans le cas des langues en cohabitation, une ruptura de la tríade Langue-Peuple-État.Les tensions et les liens entre la politique et les langues touchent alors la langue en elle-même, considérée comme une altérité, ou encore le contact de deux langues, le bilinguisme, une unité abstraite et duelle dont les résolutions sont asymétriques.Prenant appui sur des faits ponctuels, nous interrogerons le traitement et les identifications du bilinguisme affichées par les institutions régionales et nationales dans le contexte des langues coofficielles en Espagne.