2011
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/jp7c
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https://doi.org/10.4000/recherchestravaux.437
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« Ça inspire, la haine », pourrait-on dire en parodiant Céline (« Ça inspire, la mort »), en tout cas, ça inspire plus que l’amour, esthétiquement parlant au moins. Si la haine trouve dans la littérature un magnifique espace où s’incarner, elle a besoin pour exister de réagir contre un adversaire à sa taille (pas d’infanticide sans la haine de Médée et pas de haine sans la trahison de Jason). Pour naître et s’imposer, la haine a besoin d’une cause à sa hauteur : l’infidélité, la tromperie, la douleur…...