L’illusion de la verve surréaliste dans Capitale de la douleur

Fiche du document

Auteur
Date

2014

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
  • 20.500.13089/jpb9
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1969-6434

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/0151-1874

Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/jpb0

Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/recherchestravaux.698

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/openAccess , All rights reserved



Citer ce document

Pascale Roux, « L’illusion de la verve surréaliste dans Capitale de la douleur », Recherches et travaux


Partage / Export

Résumé 0

Capitale de la douleur recourt à certains codes de la verve surréaliste, notamment par la mise en scène de l’émergence spontanée de la parole, ainsi que par le recours à des marques textuelles. Parmi celles-ci, certaines, syntaxiques, signalent la spontanéité et l’abondance d’une parole profuse, non soumise au contrôle de la raison. D’autres, liées aux images, reproduisent le flot originel de la parole et marquent la fantaisie qui naît de la dictée de l’inconscient. Mais la verve y est une « illusion », selon les mots de Breton dans le premier Manifeste, car Éluard joue de ces codes, il les détourne, parfois les subvertit ou y recourt pour égarer le lecteur.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines