2020
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https://doi.org/10.4000/rsh.826
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« Nous avons traduit quand nous ressentons qu’il n’y a rien dans la page que nous ne puissions percevoir comme notre voix propre, qui se rêve alors délivrée de ses manques par la grâce de la parole d’un autre. » C’est en ces termes que, dans le texte introductif à Keats et Leopardi : Quelques traductions nouvelles, qui paraît sous son nom, Yves Bonnefoy décrit l’intrication des voix constituant l’origine du geste traductif et son horizon, puisque la voix du poète-traducteur naît de cette intimité....