2015
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Chantal Schütz, « Love’s Labour’s Music: the song-contest of the cuckoo and the owl », Actes des congrès de la Société française Shakespeare
Peines d’amour perdues fait souvent l’objet d’études critiques portant sur la musicalité de sa langue, mais la pièce contient somme toute relativement peu de références musicales. Les quelques chansons qui l’émaillent semblent moins structurantes que la métaphore de la danse. Ce sont cependant les références implicites et directes aux mythes d’Orphée et d’Apollon, incarnations de la poésie tout autant que de la musique, qui permettent au dramaturge d’articuler sa remise en question du pouvoir de ces arts.