Formalizing Narrative Structures: Glossematics, Generativity, and Transformational Rules

Fiche du document

Date

2013

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
  • 20.500.13089/kpjh
Source

Signata

Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2565-7097

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2032-9806

Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/kprm

Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/signata.539

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/openAccess , https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/




Citer ce document

Francesco Galofaro, « Formalizing Narrative Structures: Glossematics, Generativity, and Transformational Rules », Signata


Partage / Export

Résumé En Fr

According to the author, Hjelmslev’s Glossematics is not adequate to base Greimas’s narrative structures for several reasons. First, Glossematics could be effectively encoded as a Turing Machine. Unfotunately, it would be generative only in a weak sense: it could generate every sort of narrative structure, not their structural description. A comparison with Propp’s model underlines another lack of Glossematics: it is not recursive. For these reasons, it cannot generate the infinite hierarchical self-embedded structures which represent the relation between base-narrative programs and use-narrative programs. The author shows a sketch of a formal grammar generating all, and only the narrative structures represented through Greimas’s metalanguage. Finally, after a critical balance on this generative model, its goals and its lacks, the author expresses his sympathy for a morphodynamic framework.

Selon l’auteur, la glossématique de Hjelmslev n’est pas adéquate pour la fondation des structures narratives de Greimas, pour plusieurs raisons. Tout d’abord, la glossématique pourrait être effectivement codée comme une machine de Turing. Malheureusement, elle ne serait pas générative que dans un sens faible : elle pourrait générer toute sorte de structures narratives, mais non leur description structurale. Une comparaison avec le modèle de Propp souligne un autre manque de la glossématique : elle n’est pas récursive. Pour ces raisons, elle ne peut pas générer des infinies structures hiérarchiques auto-intégrés qui représentent la relation entre les programmes narratifs de base et les programmes narratifs d’use. L’auteur montre l’esquisse d’une grammaire formelle pour générer toutes et soules les structures narratives représentés par le métalangage de Greimas. Enfin, après un bilan critique de ce modèle génératif, ses buts et ses manques, l’auteur exprime sa sympathie pour un cadre morpho dynamique.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines