Coda: The Open

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2020

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  • 20.500.13089/kq5r
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Michael Palmer, « Coda: The Open », Sillages critiques


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Résumé En Fr

The notion of the open has a long history in poetry. This article also looks into its present and sketches its future, along a patient, open-ended recollection and reassembly of Robert Duncan and his poetic world. Exploring little known areas in American poetry, namely the 1973 anthology of Open Poetry put out by Ronald Gross and George Quasha, but also Charles Olson’s projective verse project, the full scope of Duncan’s Opening of the Field comes into view as an attempt at a new condition of poetry, as a kind of topological reality, where compositional decisions proceed seemingly from ad hoc pressures as if it too were a form of listening to the text. This journey through the poetic countercultures of the whole second half of the 20th century practices what it preaches. It stands, open, for the reader to range through.

La notion d’ouvert possède une longue histoire en poésie. Cet article s’attache aussi à son présent, comme à son avenir, le temps d’une patiente remémoration, d’un réassemblage continu de la poésie et de la poétique de Robert Duncan. En explorant des lieux méconnus de la poésie américaine, telle qu’on les rencontre au fil de l’anthologie de 1973, Open Poetry, publiée par Ronald Gross et George Quasha, mais aussi le projet de vers projectif décrit par Charles Olson, c’est toute l’ampleur de L’Ouverture du champ de Duncan qui apparaît, tentative décisive d’écrire une poésie qui s’appréhenderait en tant que réalité topographique, où les choix de composition découlent des nécessités ad hoc rencontrées au cours d’une écoute réflexive du texte par lui-même. Ce voyage à travers les contrecultures qui formèrent une part des pratiques poétiques de la seconde moitié du 20ème siècle se veut exemplaire. Il est ouvert au lecteur, libre de son parcours.

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