2018
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Thomas Golsenne, « Artistes, savants, médiums », Terrain
Dès qu’une nouvelle technologie apparaît, les artistes et les spirites collaborent pour en faire un instrument d’enregistrement ou de communication post-mortem. Si depuis Alberti (1435), l’art a la prétention de faire revivre les morts, ce mouvement s’est accéléré avec le développement des technologies de télécommunication. Ann Guillaume, Susan Hiller, Joachim Koester, SMITH ou Mathieu Schmitt représentent, chacun à sa manière, la tendance dans l’art d’aujourd’hui à explorer les limites de la science et à rendre visibles les fantômes de la modernité.