2018
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https://doi.org/10.4000/terrain.17949
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Marie Mauzé, « Un mangaka en pays haïda », Terrain
L’appellation plutôt insolite « manga haïda » ne peut manquer d’intriguer. Inventée par l’artiste haïda Michael Nicoll Yahgulanaas, cette appellation définit une forme d’expression visuelle hybride qui permet à l’auteur non seulement de célébrer la mémoire culturelle des Haïda, leur rapport à la littérature orale et ses enseignements, leur lien consubstantiel au territoire, mais aussi de traiter des défis auxquels sont confrontés toutes les sociétés aujourd’hui, les conflits, les guerres, l’impact...