Henri Michaux : une entrée en littérature sous le signe de la malédiction

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2018

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David Vrydaghs, « Henri Michaux : une entrée en littérature sous le signe de la malédiction », Textyles


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À son arrivée à Paris en 1924, le jeune écrivain belge Henri Michaux suscite chez ses contemporains des réactions en sens divers. Les uns l’accueillent chaleureusement : Jules Supervielle et, dans une moindre mesure, Jean Paulhan l’introduisent rapidement auprès des milieux modernistes. D’autres, comme Marcel Jouhandeau, se proposent pour être le guide moral du jeune poète, encourageant celui-ci dans sa volonté de suivre la voie des auteurs mystiques. D’autres encore s’indignent du comportement...

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