2020
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/ljd4
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https://doi.org/10.4000/trajectoires.4586
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L’accueil d’étudiants étrangers et le sport de haut-niveau étaient vus par le régime est-allemand avant tout comme un outil de promotion internationale et comme un moyen de renforcer un certain soft power. En cela, ils ont fait l’objet d’une instrumentalisation permanente par les instances du SED. Cet article se propose d’étudier, à travers l’exemple de la Deutsche Hochschule für Körperkultur, une académie pour le sport située à Leipzig, les modalités de la mise en place de cette politique destinée principalement aux ressortissants africains, asiatiques et latino-américains, ainsi que les raisons de son échec.