2021
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Atinati Mamatsashvili, « L’homme-survivant, un revenant indésirable ? », Tsafon
En parlant de l’œuvre de W.G. Sebald, des chercheurs soulignent la « présence muette de la Shoah » (Dreyfus 2014), et que le sujet reste abordé chez lui plutôt de « manière oblique » (Hunt 2011). C’est précisément cette perspective « oblique » qui nous intéresse à mettre en perspective chez l’écrivaine luxembourgeoise Anise Koltz (La lune noircie, 2009) et l’auteur belge Paul Willems (Les miroirs d’Ostende, 1978), au moment où ils introduisent le sujet. Nous proposons d’examiner les interrogations esthétiques et éthiques que pose la fiction dans cette ère d’« après », « composé[e] de toute une sorte de série de ‘post’ », selon le propos de Catherine Coquio.