Musique et administration : intendance salutaire et dépendance délétère

Fiche du document

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
  • 20.500.13089/ltbj
Source

Volume !

Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1950-568X

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2117-4148

Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/ltom

Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/volume.10765

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/embargoedAccess , https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/




Citer ce document

Julie Oleksiak, « Musique et administration : intendance salutaire et dépendance délétère », Volume !


Partage / Export

Résumé Fr En

Formulaires, e-mail, contrats et partitions… les écrits qui font aujourd’hui exister une création musicale ne se comptent plus sur les doigts d’une main. Comment alors comprendre le rôle des technologies administratives qui encadrent toute production musicale dans nos sociétés contemporaines ? Cet article propose de s’affranchir des catégories musicales à l’origine des distinctions disciplinaires de l’ethnomusicologie et des popular music studies pour poser quelques jalons à une réflexion sur les liens entre musique et administration. Entrant par la porte d’une création musicale transculturelle intitulée « 99 » produite par la fondation Royaumont, cet approfondissement du cas invite à dérouler une intrigue, qui, partant des écrits administratifs, interroge la fabrique de musique, les modes d’organisation, la construction d’individualités et les rapports de pouvoir dessinés par la gestion des ressources financières.

Forms, e-mails, contracts and scores… the written materials that now make a musical creation exist are too numerous to count on one hand. How then can we understand the role of administrative technologies that frame all musical production in our contemporary societies? This article aims to break free from the musical categories that originated in the disciplinary distinctions of ethnomusicology and popular music studies, and lays the foundation for a reflection on the relationship between music and administration. Starting with the case of a transcultural musical creation entitled “99” produced by the Royaumont Foundation, this in-depth analysis invites us to unfold a intrigue that, starting from administrative writings, questions the fabrication of music, modes of organization, the construction of identities, and the power relationships shaped by the management of financial resources.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines