Du charivari au big data. Les musiques populaires au prisme des sound studies

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2017

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  • 20.500.13089/ltmv
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Jonathan Sterne et al., « Du charivari au big data. Les musiques populaires au prisme des sound studies », Volume !


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Jonathan Sterne est professeur à l’université McGill à Montréal où il dirige la chaire « Technologie et culture ». Il est connu pour ses travaux sur l’histoire industrielle et les représentations culturelles du son, notamment un Sound Studies Reader et les ouvrages Une Histoire de la modernité sonore et MP3, the Meaning of a Format. Critique des théories réductrices du déterminisme technique et de l’innovation, son travail insiste sur la part des imaginaires scientifiques et des conditions sociales associées aux « techniques perceptives », à l’enregistrement et aux formats de compression sonores. Plus largement, il est le promoteur d’une pratique interdisciplinaire et d’une épistémologie qui tient compte des apports de chercheurs comme Michel Foucault, Stuart Hall ou Bruno Latour. Au sein des sound studies, il se soucie plus volontiers de mettre au jour les idéologies qui construisent le son et les savoirs de l’audition comme un domaine séparé, que d’instituer et de défendre l’autonomie d’un champ. Si les sound studies se sont construites par pas de côté vis-à-vis des recherches sur la musique, en étudiant les théories scientifiques et l’histoire des techniques du son, cet entretien reconnecte les apports des travaux de Sterne, et d’autres chercheurs proches, à l’étude des musiques populaires. Il fait apparaître les conditions d’une reprise féconde de leurs concepts et de leurs méthodes, sans nier les lignes de partage. Jonathan Sterne y présente une sensibilité à la musique qui puisse accueillir une politique du sonore.

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