2007
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Timothée Picard, « 22. Nietzsche et l’invention du style comme invention de soi », Presses universitaires de Franche-Comté
Soit ce mot de Michel Leiris, tiré de son recueil posthume Operratiques :Ce qui, chez Nietzsche, paraît être aux antipodes de Wagner, c’est son mode d’expression aphoristique : étincelles successives, au lieu d’une longue coulée. Ce rejet du discours fait de Nietzsche un « moderne », alors que Wagner – grand lyrique fluvial – ne peut être situé ailleurs que dans le romantisme.Le choix du style comme départ entre le romantisme et la modernité, tel sera notre propos ici. Il s’agira, en revenant tout...