2011
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Blaise Douglas, « The Feminine Figures of the Kingis Quair:Literary and Historical Metamorphoses », Anglophonia Caliban/Sigma
L’auteur du Kingis Quair rend explicitement hommage à ses sources d’inspiration : Boèce, Chaucer et Gower, mais son approche demeure personnelle et se démarque sensiblement de celle de ses prédécesseurs. Cela semble particulièrement vrai si l’on compare la bien-aimée du poète et l’Emilie du Conte du chevalier de Chaucer, la déesse Fortune du makar écossais et celle des Consolations de la philosophie de Boèce. Les représentations de Vénus et de Minerve, aux discours très chrétiens de par leur forme, dénotent également une vision originale des personnages féminins.