2023
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Emma Guillet, « Entendre et faire entendre », Presses universitaires de Rennes
Boris de Schlœzer a traduit la majeure partie de l’œuvre de Léon Chestov. Entre 1922, année où paraît dans sa traduction « Dostoïevski et la lutte contre les évidences » qui lance Chestov sur la scène littéraire française, et 1938, date du décès du philosophe, rares sont les textes qui sont confiés à d’autres traducteurs. Si Schlœzer s’est imposé comme la voix française de Chestov, c’est d’abord parce que ce dernier tenait en haute estime ses talents de traducteur et d’auteur, ce dont témoigne...