La restauration écologique ou le « droit de l’éco-ingénierie ». Du devoir d’abstention au devoir d’action

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2024

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  • 20.500.13089/vv2f
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Alexandra Aragão, « La restauration écologique ou le « droit de l’éco-ingénierie ». Du devoir d’abstention au devoir d’action », UGA Éditions


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À l’ère de l’Anthropocène, l’état du climat et des écosystèmes est déjà tellement dégradé que des mesures de conservation active ou d’amélioration deviennent incontournables. Les évolutions scientifiques en sciences de la Terre augmentent la capacité d’interférence délibérée avec le climat et les écosystèmes et réclament en conséquence un changement de paradigme dans le droit de l’environnement. Les discussions autour des opportunités, risques et échecs de la géo-ingénierie climatique peuvent être transposées à des technologies analogues pour les écosystèmes, ou éco-ingénierie. Des exemples permettent d’ores et déjà d’illustrer le concept de restauration extrême et de mesurer l’ampleur du défi. La restauration des écosystèmes semble relever d’une obligation légale, d’une nécessité écologique, d’une exigence éthique et d’une logique économique. Cela nécessite une évolution du droit pour réglementer l’éco-ingénierie.

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