2024
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Catherine Wermester, « Épilogue », Presses universitaires de Strasbourg
« Les héros de cette guerre étaient ses victimes, toutes ses victimes », écrit Michel Messu en parlant de 1914-1918. Si les mutilés de la face sont aujourd’hui devenus l’image entre toutes du traumatisme causé par la Première Guerre mondiale, ce sont dans un premier temps les aveugles et les amputés de guerre qui sont les plus visibles et les plus représentés, ceux dont le devenir dans la société d’après-guerre est l’objet de la plus grande attention. Les malheureux dont le visage a été détruit...