Evocation des temps anciens aux Saintes-Maries-de-la-Mer

Résumé 0

L'informateur est un pêcheur à la retraite. Il raconte les différents aliments que l'on pouvait trouver dans la nature et dans les champs et qui constituaient les repas aux Saintes Maries autrefois : salade sauvage, champigons. Il évoque les rapports entre les santains et la Camargue : « pas tous les santains se sentent camarguais » et les gens qui portent le costume ne sont pas forcément camarguais. Puis il délimite les frontières de la Camargue entre les deux bras du Rhône c'est l'île de la Camargue. Il indique que les Saintes sont plus tournées sur Arles que sur Montpellier et le Languedoc. Les gens des Salins ne sont pas camarguais. Il évoque son enfance et les rapports qu'il avait avec son père et son frère. Puis il raconte la pêche avec son père. Il définit le métier de gardian et la passion des taureaux et des chevaux. Il parle de l'évolution du paysage de la Camargue et des alentours des Saintes. Avant il n'y avait pas autant de taureaux et de chevaux, les gens des Saintes vivaient de la rapine (champignons, escargots), de la pêche et de la chasse dans les marais. Il évoque les différentes techniques de pêche celle sur le Rhône et celle en mer et les conditions difficiles puisque la pêche se faisait dans des bateaux à rame et non pas à moteur. Il indique ses différents lieux de pêche. Il parle de la chasse aux canards dans les marais, des différents lieux où il l'a pratiquait et des différentes techniques utilisées. Il raconte différentes anecdotes de chasseur. Il évoque les rapports entre les pêcheurs, les chasseurs et les gardians.